Le destructeur
J'étais devenue en quelques minutes volées,
le destructeur, le provocateur, le dictateur,
et comme si Franco n'était pas vraiment mort,
il eut fallu que j'aille jusqu'au bout de mon crime
pour qu'il ne se relève jamais plus.
L'arène était vide, tout était pauvre de sang et de sens.
Je ne serai plus celle que l'on gestapote.
SM